Nous allons bientôt dire au revoir à l’année 2024.
“Le temps passe et passe et passe et beaucoup de choses ont changé. Qui aurait pu s'imaginer qu'le temps serait si vite écoulé. On fait l'bilan, calmement, en s'remémorant chaque instant.”
Celui qui nous donne le titre et l'interprète de cette chanson aura droit à un cadeau POP…
Faire le bilan de cette année pour mieux appréhender les nouvelles tendances de la communication pour 2025. C’est l’exercice que nous avons mené chez POP.
Le mix création, contenus, performance et social media s’impose comme la pierre angulaire des stratégies gagnantes. Alors quelles sont les tendances à surveiller pour réinventer vos campagnes et captiver vos audiences l’année prochaine ?
La data au service de la créativité
En 2025, la data ne sera pas seulement un outil d’analyse, de simples dashboards sortis d’outils parfois mal paramétrés et dont les données sont impossibles à consolider, mais la data sera un véritable catalyseur de créativité.
Les insights tirés des médias sociaux permettront d’imaginer des campagnes personnalisées et percutantes.
L’hyper-segmentation devient incontournable : créer des messages sur mesure pour chaque micro-audience afin de maximiser l’impact.
Le storytelling sera data-driven : nous pourrons intégrer des éléments visuels ou narratifs issus des comportements des utilisateurs.
Nous viserons une personnalisation des contenus en temps réel enl’adaptant en fonction des interactions précédentes pour une expérience utilisateur fluide.
Des contenus innovants et immersifs
La mise en place d'expériences immersives et engageantes va gagner du terrain grâce notamment aux :
formats interactifs, les sondages, quiz et AR (réalité augmentée) offriront une nouvelle dimension à vos campagnes.
contenus éphémères, stories et Reels continuent de captiver avec des messages rapides et efficaces permettant de créer un lien fort avec vos communautés
UGC (User-Generated Content) amplifié, nous allons exploiter le potentiel créatif de vos audiences pour gagner en authenticité.
Les médias sociaux au cœur du système
En 2025, les médias sociaux ne seront pas qu’un canal de diffusion, mais un véritable laboratoire de création et de performance.
social commerce : acheter directement sur Instagram, TikTok ou Pinterest devient une norme.
micro-communautés : engager des groupes ultra-spécifiques pour des campagnes plus pertinentes.
live Streaming : proposer des contenus interactifs en direct et connectés à vos objectifs business.
analyse de tendances : Les réseaux offrent des données en temps réel pour déceler les thématiques à exploiter.
De plus, en 2025, le social média redevient très social. Avec un véritable retour aux sources de l’essence même de ce qui fait les communautés, à savoir le lien. De l’importance même de revenir à de véritables stratégies de community management.
L’impact éthique et durable au cœur des stratégies
La responsabilité sociale et environnementale sera au centre des attentes des consommateurs qui attendent des marques qu’elles se positionnent sur ces sujets-là.
contenus engagés : valoriser vos initiatives RSE avec des campagnes créatives qui inspirent l’engagement.
simplicité et transparence : rassurer vos audiences sur l’usage de leurs données.
2025, sera donc une année de synergies ! À ne pas manquer. Dans une période qui s’annonce paraît-il tendue, l’importance de travailler finement le bas de funnel tout en ne manquant pas vos objectifs image et notoriété semble être la clé de vos réussites. Et si les coupes budgétaires étaient l'occasion de repenser nos manières de faire ? Et si on misait de nouveau plus sur l'organique que sur le Paid ? C'est une conviction que nous avons à l'agence depuis fort longtemps.
Pourquoi ? Parce que l'argent ne fait pas le bonheur même s'il y contribue.
Est-ce que vous aussi, vous avez réalisé que Chat GPT avait remplacé la barre de recherche Google dans vos favoris ?
Si pas encore, cela ne saurait probablement tarder…
Et cela nous force à nous poser la question de ce que cela dit de notre manière de découvrir les choses aujourd'hui.
🔎 La domination du search telle que nous la connaissons n'est-elle pas terminée ?
Les réseaux sociaux sont multiples et nous passons notre vie devant des écrans. Oui, même toi qui lèves les yeux au ciel... 6 h 36 exactement, par jour, toutes activités confondues (Netflix compris donc).
Et ces mêmes réseaux sociaux connaissent un essor dans leur fonctionnalité recherche. Pour les jeunes générations, mais pas que. 46 % de la population mondiale déclarent utiliser les réseaux sociaux pour obtenir des informations sur les marques et produits qu'ils désirent acquérir.
Depuis longtemps déjà, nous disons que les réseaux sociaux sont le nouveau SEO.
En exemple (ou en preuve ?), les jeunes qui disent trouver des réponses personnalisées via vidéo à leurs questions et " des vrais avis de vrais gens" sur TikTok.
Le parcours de la découverte a bel et bien changé ! Nous venons d'abord maintenant sur le web par curiosité. L'envie de la découverte, plutôt que l'envie d'acheter. Comme dirait l'autre, l'envie d'avoir envie.
Alors entre modification du comportement des populations, notamment les plus jeunes et installation des agents conversationnels basés sur l'IA, qu'est-ce que cela impose au couple agence + annonceur ?
Nous devons repenser nos approches en ligne.
- En plaçant l'inspiration au centre de nos dispositifs et dans toutes les étapes du parcours de recherche
C’est notre pôle CRÉATION.
- En produisant des contenus toujours plus en phase avec les attentes des consommateurs
C’est notre pôle CONTENUS.
- En faisant évoluer les stratégies SEO pour répondre aux exigences des nouveaux outils, en personnalisant toujours plus les expériences
C’est notre pôle PERFORMANCE.
Et voilà donc l'équation POP une nouvelle fois projetée sur le devant de la scène :
Si vous êtes né après 1990, vous n’aurez sûrement pas la réf. Pourtant, cette campagne était un modèle en son genre à l’époque… Les choses évoluent, les réseaux sociaux aussi… Et nos manières de faire avec.
Cela ne vous aura peut-être pas échappé, mais si vous vous êtes fait la belle des réseaux sociaux ces derniers temps, il s’est quand même passé quelque chose de très important sur Instagram.
Adam Mosseri a annoncé fin septembre que les vues seraient dorénavant le Kpi clé de la plateforme et qu’il serait valable pour tous les formats.
Oui les vues. Pas les impressions, ni le reach.
On savait déjà que le nombre d’abonnés était totalement has been et on en connaît encore dans le coin qui s’attachent à cela… Mais là, il est définitivement mort et enterré. Premier point ! (pour ceux qui ne comprennent pas, appelez-nous, on vous expliquera).
Deuxième point où plutôt question : quid des fameuses interactions ?
Finalement, la vue est déjà une forme d’interaction. Pour rappel, il faut avoir passé plus de 3 secondes sur un contenu pour qu’il soit considéré comme vu. Avant cela, c’est une impression. Et on sait aujourd’hui que les interactions se passent en privé… La fin prochaine des cœurs et des pouces ?
Les avantages d’un tel changement sont que tous les contenus pourront dorénavant être analysés sous le même prisme, celui des vues. Carrousel, stories, Reels…
(on note aussi le grand grand retour du format carrousel !)
Ce que cela change pour nous agence :
- Nous révisons en ce moment même notre manière d’analyser nos actions et donc nos formats de reporting
- La règle des 3 secondes qui favorise la rétention des audiences est désormais valable pour tous les contenus. Nous organisons donc un groupe de travail sur la meilleure manière de répondre à ce changement avec les chefs de projets, social média managers, content managers et créatifs.
- Nous lions définitivement la stratégie de contenus à la stratégie média
Alors évidemment, si un contenu est mauvais et mal pensé, même avec des millions d’euros sur la table Meta, il le sera toujours.
Nous allons donc aussi continuer chez POP FOR YOU à faire ce que nous savons faire : raconter des histoires, en naviguant entre le fonctionnel et l’émotionnel (au-delà des hooks et des pranks), bref allier création, contenus et performance.
La rentrée sociale a été marquée par une nouveauté sur le premier réseau social professionnel aux 9,9 millions d’utilisateurs actifs mensuels en moyenne, LinkedIn.
En effet, sur version mobile, nous avons désormais accès à un onglet vidéo qui nous permet de découvrir, comme cela est déjà le cas du TikTok et Instagram, un flux vertical composé uniquement de vidéo.
Pourquoi un tel onglet ?
En capitalisant sur un format en pleine croissance (+34 % de téléchargement au Q4 24 vs n-1), LinkedIn veut attirer un public plus jeune.
Qu’est-ce que cela implique pour vos marques ?
Produire des contenus encore et toujours. Le contenu est définitivement ROI et ROIste.
Mais il semblerait que le temps où l’on se racontait en écrivant soit désormais compté.
Place maintenant au storytelling. Oui, le storytelling pour le storyselling.
Vous allez nous dire que depuis que la com est com, les agences disent aux marques de raconter des histoires.
Eh bien aujourd’hui, encore plus qu’hier, il va falloir raconter des histoires crédibles et capables d’apporter à ceux qui les écoutent et les regardent leur lot d’émotions.
Plus que jamais, nous allons naviguer sur LinkedIn entre le domaine fonctionnel et le domaine créatif.
La question POP, et la solution !
Le public LinkedIn est-il prêt ? Nous ne sommes pas sûrs. Nous notons en effet un décalage entre le format poussé par le réseau, la vidéo, et l’usage actuel du réseau par des cibles business.
Alors pour combler le fossé, la solution idéale pour POP est la mise en place de programmes d’Employee Advocacy puissants. Car vidéo ou pas, les contenus déployés par vos collaborateurs auront toujours plus d’impact que ceux que vous partagerez en tant que marque.
Les collaborateurs, au centre de vos contenus, les collaborateurs, diffuseurs de vos contenus, les collaborateurs, producteurs de contenus.
En résumé, sur LinkedIn ALL IN sur vos collaborateurs.
Au sein de l’équipe créative de Pop for You, vous mettez en images et donnez vie aux idées créatives qui ressortent des échanges entre les clients, les équipes projets et l’équipe créative.
Vous êtes capable de : ✅ Mettre en page les recommandations et les documents de suivi. ✅ Créer et valoriser l’image de nos clients sur les réseaux sociaux notamment. ✅ Mettre en image la communication sur les réseaux sociaux.
Profil : 💻 Passionné(e) par le design graphique et l’évolution des marques sur les réseaux sociaux 🎨 Vous avez une appétence particulière pour les projets créatifs et la publicité.
Communiquera, ne communiquera pas ? Telle est la question.
Cette question ne se pose évidemment pas pour tous les partenaires de la manifestation sportive la plus attractive au monde. Et ils sont nombreux.
Cela fait déjà maintenant des mois que nous sommes biberonnés aux films et autres happenings des marques partenaires. Des communications souvent très réussies dans lesquelles savoir-faire, vivre ensemble, combativité, résilience sont mis en avant. Les marques mettent leurs promesses RSE au service de leur image et de leur notoriété. Parfait. Mais quand on n’est pas partenaire, que faire dans ce paysage médiatique quelque peu encombré ?
Des millions d'yeux seront rivés sur les écrans avec plus de 3,6 milliards de spectateurs attendus quotidiennement sur la planète et près de 2 millions qui interagiront sur les réseaux sociaux. Y a-t-il de la place pour tout le monde ?
Indéniablement oui. Dans le respect des contraintes et interdictions extrêmement précises pour les marques non-partenaires. Contraintes sur lesquelles nous ne reviendrons pas ici.
Si la qualité de la communication repose sur la dynamique des contenus proposés, comme toujours, la qualité de la diffusion fera la différence. Ainsi, en temps de Jeux olympiques, deux canaux nous semblent particulièrement opportuns :
Les réseaux sociaux et notamment TikTok
La communication interne : elle permet d'informer vos collaborateurs en avant-première des actions entreprises, de les impliquer dans la création de vos contenus. Cette démarche renforce alors considérablement la marque employeur et garantit même l'authenticité des contenus produits.
Focus sur Tiktok : la plateforme peut se révéler un formidable atout pour votre marque en cette période particulière. Non seulement pour accroître votre visibilité, mais aussi pour vous connecter à un public nouveau, jeune et dynamique, en quête d’expériences uniques.
Comment s’emparer du réseau et même des réseaux plus largement ?
Voici quelques conseils pour réussir votre communication sociale cet été :
Planifiez votre contenu :
Créez un contenu authentique et aligné avec l'énergie des Jeux olympiques.
Partagez des histoires inspirantes et accessibles de persévérance et d'excellence.
Intégrez des éléments sportifs dans vos produits (ex. tutoriels de compléments alimentaires, tenues sportives).
Célébrez la diversité et l'inclusion :
Reflétez la diversité culturelle des Jeux dans votre contenu (ex.vous êtes une marque de thé, quels sont tous les thés préférés des pays participants aux Jeux olympiques).
Organisez vos publications :
Teasez votre audience avant les Jeux, maintenez l'engagement pendant et récapitulez après.
Collaborez avec des influenceurs et valorisez le contenu généré par les utilisateurs (UGC) :
Collaborez avec des influenceurs partageant les valeurs de votre marque.
Encouragez les utilisateurs à créer et à partager du contenu lié à vos produits et aux Jeux.
Utilisez TikTok Live et autres fonctionnalités interactives :
Organisez des retransmissions en direct, des sessions de questions réponses et des coulisses exclusives.
Engagez votre audience avec des sondages, des votes, et des défis hashtag.
Créez des filtres et des effets spéciaux pour augmenter la visibilité de votre marque.
Respectez les règles des Jeux olympiques :
Comprenez et respectez la Règle 40 pour éviter la promotion non autorisée de marques non officielles.
Évitez d'utiliser des termes protégés comme "olympique" ou "Paris 2024" dans vos communications.
En résumé, pour une communication efficace des entreprises pendant les JO 2024, les mots d’ordre sont : choisir les formats les plus pertinents en fonction de son activité, privilégier une exécution de qualité pour se démarquer de la concurrence et maîtriser les codes des réseaux sociaux ainsi que ses propres canaux de communication pour maximiser le succès de sa stratégie.
Et comme les jeux ne sont pas encore faits, nous vous souhaitons à tous un bel été !
Peu de contenus comptent… Ce n’est pas nous qui le disons, mais Mercedes Erra lors de la remise des prix Nymphéas de la communication, en mai dernier.
À partir de ce constat-là, sur une toile déjà saturée par l’information et dans un monde nouveau où la sobriété est de mise (c’est ce que nous croyons chez POP), comment une marque peut-elle réussir à produire du contenu qui marche tout en limitant la pollution numérique ?
C’est justement là l’enjeu de la sobriété éditoriale.
Mais qu’est-ce au juste cette sobriété ?
La sobriété éditoriale est un concept qui vise à limiter la production et la consommation de contenus numériques pour réduire leur impact environnemental et éviter la surcharge d'informations. Cette approche prône une utilisation plus responsable et mesurée des ressources numériques, en produisant des contenus de manière réfléchie, pertinente et nécessaire.
Quels ont sont les grands principes ?
Pertinence et qualité : Publier des contenus qui apportent une réelle valeur ajoutée, évitant ainsi la production excessive de contenus inutiles ou redondants (si vous êtes déjà client POP, vous avez déjà dû entendre cette phrase 1000 fois…)
Frugalité numérique : Utiliser des formats et des technologies économes en énergie et en ressources.
Éco-conception des contenus : Penser dès le départ à l'impact environnemental des contenus, en optimisant par exemple le poids des fichiers (images, vidéos, etc.) et en favorisant des pratiques de développement web durable. Imaginer des tournages plus responsables.
Responsabilité et éthique : Adopter une approche responsable vis-à-vis des utilisateurs et de la planète, en privilégiant une communication claire et honnête.
Comment les mettre en place ? La méthode POP !
Grâce aux experts RSE de Ween by Humankills, nos copains du groupe, nous avons mis en place une méthodologie nous permettant de viser la sobriété éditoriale.
#1. Le brief, le moment clé
Vous le savez bien, tout part du brief ! Nous avons décidé, chez POP, de véritablement challenger nos annonceurs au moment du brief. Car si tout le monde veut faire de la RSE, bien trop souvent, les ambitions dépassent la volonté réelle d’action. N’ayons plus peur d’oser faire moins et mieux.
#2. L’identification des attentes et besoins des cibles
Qu’est-ce qui va véritablement intéresser vos interlocuteurs ? À quel moment de leur parcours ? Soyons pragmatiques ! Repartons donc de la définition de vos persona ?
#3. La construction de votre Maison des contenus
Une maison qui va identifier vos piliers éditoriaux, qui va vous permettre en même temps de rationaliser et d'optimiser vos productions et d’inspirer vos audiences cibles. Une maison qui va donc vous permettre de privilégier la qualité à la quantité. Par exemple, il sera toujours plus simple de partir d’un contenu large et complet pour le découper, que de produire 10 contenus isolés.
#4. Une conception et une production responsable
Conception / Rédaction
Mettre en place des règles éditoriales précises : textes clairs, précis, succincts, organisés en courts paragraphes pour faciliter la lecture. Et correctement chapitrés.
Oser le minimalisme pour ne garder que l’essentiel des informations pertinentes. Non aux répétitions et détails inutiles.
Porter une attention particulière aux visuels utilisés.
Création
Optimiser les polices et les couleurs pour le web.
Réduire le poids des fichiers.
Social média
Publier moins (mais amplifier mieux).
Respecter les règles de conception / rédaction.
Respecter les règles de création.
Production
Penser des tournages responsables tant au niveau des équipes que des solutions techniques ( train, local…)
Choisir des solutions d’hébergement des contenus locales et vertes.
#5. Sensibilisation des équipes
Évidemment, une agence de communication ne peut pas tout faire ! Nos responsabilités sont partagées. C’est pourquoi nous avons mis en place une offre de formation de vos équipes grâce à l’offre Upskilling du groupe Humanskills et nos experts Ween by Humanskills. Si vous souhaitez entrer en contact avec nos équipes formation, c’est ici.
#6. La mesure de la performance
Avant la mesure, la définition des bons KPIS pour votre stratégie de sobriété éditoriale et donc stratégie de contenus. Comme on le dit chez POP, la meilleure stratégie est celle qui combine audace créative et performance. Et la bonne nouvelle est que cela est possible sobrement ! L’astuce POP : selon Ahrefs, la mise à jour de contenu ancien peut augmenter le trafic organique jusqu'à 106 %. Identifier les contenus à mettre à jour doit donc être le point de départ de votre nouvelle stratégie.
Depuis presque 15 ans, nous racontons des histoires. Celles des marques que nous accompagnons. Des histoires vraies, des histoires folles, des histoires drôles, des histoires touchantes. Depuis 15 ans, alors que nous évoluons dans une économie qui est celle de la recommandation, nous cherchons à tirer le meilleur des marques pour que les consommateurs en quête d’exemplarité, d’authenticité et de transparence les choisissent.
Parce qu'il y a bien une chose que toutes les marques, les entreprises partagent, B2B, B2C, luxe ou masse, c’est celle de vouloir captiver leurs audiences.
Oui, vous devez pour cela produire beaucoup, mais ne cédez pas à la facilité ! Ne cédez pas aux sirènes de l’IA qui semblent vous rendre les choses possibles.
Occuper l’espace est un bon objectif, mais quand on sait par exemple qu’environ 95 % des contenus que nous recevons dans nos boîtes mail ne nous intéressent pas. Occuper l’espace de manière intelligente et singulière est un objectif plus pertinent.
C’est pourquoi nous vous délivrons ici nos 6 commandements pour réussir votre stratégie de contenus. Chez POP, nous mettons en place votre maison des contenus à partir de laquelle notre content factory va pouvoir produire de manière qualitative et régulière vos contenus. Certains seront courts et à destination de votre fil rouge social, d’autres seront longs et à destination de vos campagnes temps forts. Certains prendront la forme d’articles de fond à destination de votre site web et serviront votre stratégie SEO, d’autres seront des motions hyper impactants et promouvront le dernier service que vous aurez lancé.
1. Définir votre raison d'être
Il y a ce que vous dites, ce que vous souhaitez, ce que vous visez. Il y a aussi ce que vous faites. Puis, il y a pourquoi vous le faites. Et ce pourquoi-là est tout à fait crucial dans la construction de votre maison des contenus. Ce pourquoi-là représente tout simplement votre raison d’être. Cette raison d’être, votre WHY, n’est pas un artefact de communication, loin de là. À la croisée de votre plateforme de marque, de votre positionnement et de vos actions concrètes, votre raison d’être est votre IKIGAI. Elle est l’ADN de votre entreprise, elle est votre vision. Elle est porteuse de sens.
Votre raison d’être est au carrefour de 4 piliers constitutifs de votre marque :
VOTRE HISTOIRE : quel est votre héritage ? D’où venez-vous ? Que vivez-vous ? VOS SAVOIR-FAIRE : que faites-vous ? Que savez-vous ? Dans quels environnements ? VOTRE IDENTITÉ : qui êtes-vous ? Quelles sont vos valeurs ? Vos ambitions ? VOTRE RELATION À LA SOCIÉTÉ : Pour qui le faites-vous ? De quoi le monde a-t-il besoin selon vous ?
Elle devra être cohérente, structurante, différenciante et impactante. Elle sera le point de départ de l’ensemble de votre stratégie éditoriale, elle-même pivot de votre stratégie de contenu.
Quelques exemples d’entreprises et de leur raison d’être :
Auchan : « Bien manger et vivre mieux tout en préservant la planète » Danone : « Apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre » Michelin : « Offrir à chacun une meilleure façon d’avancer » Le Crédit Agricole : « Agir chaque jour dans l’intérêt de nos clients et de la société » Nutriset : « Apporter des propositions efficaces aux problématiques de nutrition/malnutrition des enfants »
2. Le SEO est mort, vive le SEO !
Qui dit acquisition de trafic, dit forcément SEO, nul besoin de vous présenter les intérêts d’une bonne stratégie SEO et des contenus qui vont avec. Sauf que ! L’IA ayant bousculé notre année 2023, Google a décidé de se mêler de nos bonnes vieilles routines en nous promettant, grâce à l’outil SGE (Search Generative Expérience), une expérience utilisateur améliorée.
Mais qu’est-ce que c’est que cela ? Google SGE utilise l'intelligence artificielle pour créer des réponses pertinentes, concises et directes aux interrogations complexes des utilisateurs. Il fournit ces réponses accompagnées de sources vérifiées, offrant aux utilisateurs un accès immédiat et précis aux informations recherchées.
Cette technologie transforme de manière significative l'expérience utilisateur en lui faisant la promesse de lui économiser du temps. Par exemple, face à une question complexe sur un sujet scientifique, au lieu de devoir consulter et analyser de multiples sources en ligne, Google SGE offre une réponse succincte et fiable, tirée des meilleures sources (selon Google, viendra donc après le débat de la fiabilité et du choix de sources…). Ce processus simplifie grandement la recherche, rendant l'accès à l'information non seulement plus rapide, mais aussi plus efficace.
Vous l’avez compris, cette technologie pourrait entraîner plusieurs bouleversements :
une baisse des clics, les utilisateurs ayant leurs réponses dans celles générées par l’IA
une baisse de la prédominance des premières positions pour un avantage sur les positions 3 à 5 qui pourraient avoir une meilleure visibilité
une baisse du trafic : une étude a montré une réduction potentielle du trafic organique de 18 à 64 % avec la SGE
En élargissant les horizons de la recherche en ligne avec la capacité de répondre à des questions jamais posées auparavant, cette innovation change radicalement la façon dont les informations sont organisées et présentées. Soulignant l'importance pour les marques de réviser leur stratégie de contenu pour rester pertinentes dans cette nouvelle ère de recherche assistée par IA.
Il vous faudra donc :
optimiser rapidement votre site pour la navigation mobile
produire un contenu à haute valeur ajoutée et riche en informations utiles
miser sur la longue traîne
enrichir le mix de vos contenus (audio, vidéo, texte…) surtout quand on sait que Google devrait bientôt référencer les vidéos TikTok…
3. L'éco-conception comme moteur de votre créativité
Comme vous le savez, chaque contenu que nous produisons (vous, nous) a un impact environnemental. En effet, l’ensemble des technologies que nous utilisons au quotidien sont énergivores. Le numérique a un impact grandissant sur l’environnement, ainsi que les personnes qui y travaillent et qui l’utilisent. Depuis les mines d’où sont extraites les matières premières jusqu’à la fin de vie de nos équipements.
Mais heureusement, nous avons des solutions ! Et gare à ceux qui pensent que l’éco-conception tue la créativité. Bien au contraire. Et si vous connaissez un peu POP et ses équipes, vous savez que nous avons fait notre cette fameuse maxime anglophone : less is more.
Pour faire court donc, non, l’éco-conception n’est pas synonyme de pauvreté créative, de non-performance, de coûts élevés et d’un appauvrissement de l'expérience client.
Chez POP, la contrainte stimule la créativité !
Et pour mener à bien nos recherches et nos projets, nous nous appuyons sur nos cousins experts de Monsieur Guiz dont vous trouverez ici l’excellent travail.
4. ALL IN sur vos collaborateurs !
Tirer parti de l’influence de vos salariés pour diffuser et amplifier vos communications, c’est votre nouveau mantra.
Pour rappel, l’Employee Advocacy est le mécanisme par lequel une entreprise, organisation ou marque accompagne ses salariés, partenaires ou autres parties prenantes pour devenir ses ambassadeurs dans leur vie professionnelle et notamment sur les réseaux sociaux.
Quelques données en vrac :
Plus de personnes (53 %) font confiance à un employé qu'à un PDG (47 %). Les experts métier travaillant pour l'entreprise suscitent également davantage de confiance (65 %) que les tops dirigeants.
Selon une étude de Cisco, le contenu social publié par les employés suscite 8 fois plus d'intérêt que le contenu partagé par leurs patrons et leurs employeurs. Comprendre ici marque.
Sur Linkedin, en analysant plus de 50 000 messages, on remarque que les employés ont tendance à avoir 10 fois plus de followers que l'entreprise elle-même.
Dans le même ordre d'idées, SproutSocial constate dans ses études que les gens sont 16 fois plus susceptibles de consulter un message social partagé par un ami (qui travaille pour la marque A) que le contenu social de la marque A elle-même.
LinkedIn a également constaté que même si seulement 2 % des employés partagent à nouveau le contenu social de leur organisation, ils recueillent jusqu'à 20 % de l'engagement total de l'entreprise.
Les personnes à la recherche de talents accordent une grande importance à l'opinion des employés actuels. Les réseaux professionnels et sociaux sont devenus des outils fiables et incontournables pour la recherche d'emploi.
Vous l’aurez compris, l’Employee Advocacy a de nombreuses vertus : développer l’influence de votre marque, développer votre marque employeur, fidéliser, informer et développer les connaissances de vos collaborateurs, sécuriser votre image de marque.
Mais les freins sont aussi nombreux à la réussite d’un programme d’Employee Advocacy. C’est pour cette raison que chez POP, et avec l’ensemble des experts du groupe Humanskills, nous avons pensé un accompagnement sur-mesure, dans la durée qui garantira votre succès.
5. L’hybridation des talents au service de votre maison des contenus
Vous connaissez le métier, nous connaissons le média. Travailler et produire vos contenus avec une agence n’est jamais une mauvaise idée.
Prenons un exemple : auriez-vous la capacité interne de produire ou de gérer la rédaction de 1000 articles par an si vous étiez un acteur du secteur bancaire et que votre objectif premier soit la génération de trafic sur votre site (donc SEO !) ?
Un autre exemple : auriez-vous la capacité interne de penser et concevoir votre prochaine campagne de communication si vous étiez un acteur du monde automobile en quête d’une nouvelle notoriété ?
Il y a des choses que seules les agences savent faire. Parce que tout simplement, nous avons les méthodes, les process et les ressources humaines pour !
Car produire un contenu, ce n’est pas seulement l’écrire. C’est d’abord le penser, le structurer, l’inclure dans une stratégie plus globale, c’est aussi lui donner un sens, puis une forme. Lui assigner un objectif, le diffuser, et amplifier sa portée.
C’est pourquoi chez POP, nous mettons en place pour vous des escouades composées des experts dont vous aurez besoin, d’une équipe stratégique pour les piloter et des créatifs non conventionnels qui vont vous emmener là où vous n’auriez peut-être pas osé aller. Fini le modèle traditionnel de l’agence hyper verticalisée. Aujourd’hui, seuls les talents comptent.
6. Raconter des histoires sans se la raconter
Comme dans n’importe quel récit, c’est la force de ce dernier qui fait la différence.
Les marques qui parviennent à établir un lien spécial avec leur audience ont plus de chances de marquer les esprits. Ainsi, pour engager efficacement son public, il est essentiel de susciter des émotions intenses. Atteindre le cœur de son audience est la clé pour la retenir. Cela nécessite de concevoir des histoires qui se démarquent tant par leur structure que par leur contenu.
Des histoires qui doivent refléter aussi les aspirations sociétales du moment. Dans ce contexte, il est impératif pour les marques de se saisir de ces récits émergents pour élaborer de nouvelles visions. Ceci est d’autant plus vrai dans la communication interne et corporate.
Et des histoires funambules, sur le fil du réel et de l’imaginaire. Parce que les émotions naissent bien souvent de l’évasion.
Un exemple marquant de ces dernières années :
Et non nous ne vous parlerons ici d’ IA car…
Après une année 2023 marquée par des élans créatifs biberonnés à l’intelligence artificielle, qu’en est-il de 2024 ? La réponse paraît presque tellement évidente qu’on aurait pu se poser la question de cette question. Après une année de tests et expériences multiples avec les IA génératives, elles seront définitivement en 2024 de bons compagnons de jeu pour les créatifs qui leur permettront de libérer tout leur potentiel.
Dans leur version générative, les images (ou les textes) rendues par les IA restent encore tout à fait reconnaissables, avec un traité si lisse qu'il peut parfois même générer un sentiment de rejet. Il convient donc de ne surtout pas se limiter à une utilisation simple de l'outil mais d'en faire une extension de la pensée créative, de rendre possible dans un temps plus court ces idées naissantes dans nos esprits humains.
La maîtrise des IA est un enjeu clé pour une utilisation responsable. Éviter les dérives, les imitations, les plagiats, la standardisation. Les utilisateurs de l' IA doivent aussi une transparence totale à ceux qui sont au contact de contenus produits. L'IA est un formidable outil, évitons le IA Bashing. Un travail méticuleux, précis, riche qui nécessite beaucoup d'esprit critique.
L’avis de Caroline VIGNAND-OLIVIER, DG POP FOR YOU
Si l'année 2023 a dégouliné de trop de bienveillance et de standardisation des contenus, facilitées par des IA génératives beaucoup trop polies, il semblerait que 2024 soit l'année de tous les possibles, de toutes les tendances. NO RULES ! Ou une seule : celle du contre pied esthétique. Et là, l'IA devient un fidèle partenaire dont on ne peut déjà plus se passer. Rendre possible l'impossible.
Rehuman. C’est le terme qui définit l’année 2024 selon la brillante étude Future 100.
Ce mot symbolise la refonte de l’identité humaine face aux progrès technologiques. Oui, les technologies ont un impact certain sur notre perception du monde et de nous-mêmes. Et n’est-ce pas cela qui nous pousse à nous recentrer sur notre nature profonde ?
Chez POP FOR YOU, les créatifs se sont amusés à interpréter ce mot, en toute liberté et originalité.
Il est déjà loin le temps où nous échangions sur MSN messenger avec celui que nous avions rencontré lors du pot de départ de Romain, de la compta. Et où chacun cherchait à avoir son entrée sur A Small World. Nous en avons vu des choses, beaucoup de choses. Ceux qui sont nés après 1995 ne peuvent pas en avoir la moindre idée. Alors oui, nous le savons, le web change. Et à grande vitesse. Et si le paysage médiatique est en constante évolution, nous avons constaté que durant ces 15 dernières années, Internet avait quelque chose de solide, de fiable : une culture commune, une confiance, un public. Un peu comme dans les concerts de Stéphane Eicher.
Or aujourd’hui, cette unité est en train de fondre… Qui sait encore ce qu’il se passe en ligne ? Nous nageons, nous nous noyons même, en plein “web vaporeux”, comme certains journalistes surnomment le phénomène. X est à l’agonie, Facebook et Instagram nous tiennent la tête hors de l’eau à grands coups d’écrans publicitaires, Tiktok abîme notre sens critique régi par un algorithme qui sur individualise les contenus. Comme Spotify ou Deezer. Le web est devenu un parc à chiens où chacun doit trouver sa niche ! Ce qui est populaire pour les uns est totalement invisible pour les autres. Pour preuve, avez-vous regardé la série The Night Agent ? Non ? Nous non plus et pourtant c’est l’une des séries les plus regardées selon Netflix.
Parallèlement à cela, nous sommes devenus de grands fainéants. À quand remonte votre dernier statut Facebook ? 5 ans, 10 ans ? La plateforme s’en souvient, pas vous. C’était il y a beaucoup trop longtemps. Nous nous sommes recentrés sur nos sphères privées (What'sApp pour les millenials, Discord par la Gen Z). Des grands festivals en plein air, nous sommes passés aux petits apéros entre amis. Serait-ce donc la chute annoncée des grandes plateformes sociales ?
D’après une étude menée par Gartner, plus de 50% des internautes vont considérablement baisser leurs interactions sociales dans les deux ans à venir. L’IA va-t-elle combler ce grand vide ?
Chez POP, nous pensons que non. Nous sommes simplement à un tournant. Le web se professionnalise et les créateurs de contenus sont au cœur de cette nouvelle économie qui devrait peser environ 480 milliards de dollars en 2027.
La fin des réseaux sociaux, tels que nous les connaissons aujourd’hui, est proche. Les plateformes sociales seront dorénavant des machines à contenus. Et vous marques, vous devrez donc continuer à produire, produire, produire et produire. Pour être toujours là. Et déjeuner en paix…
Dans cette histoire, que vient faire POP ?
Vous aider à produire tout simplement, de manière créative, audacieuse et performante. Grâce à la qualité de notre content factory et à l’hybridation des expertises. De la stratégie éditoriale à la création. Le fond et la forme.