POP est organisée autour d’une Content Factory dont l’objectif est d’optimiser l’écriture sociale de vos contenus.

Tous nos clients veulent faire des vidéos et ils ont bien raison.

Mais attention, quelques règles sont à respecter si on veut que ces vidéos soient vues et vues sur Facebook. Ce qui en général est le premier objectif à atteindre… !
Car non le réseau n’est pas mort…

1 - DU BRIEF À LA PROD

Le temps de visionnage des vidéos sur Facebook est particulièrement court. Votre vidéo doit donc capter vos audiences dans les 3 (oui 3 !) premières secondes.

Pour cela, vous devez vous poser quelques questions :

• Quelle est la valeur ajoutée de ma vidéo pour ma cible ?
• Pourquoi va t-elle être visionnée ?
• Que seront les 3 premières secondes de la vidéo ?
• Quel est le bon rythme ? Surtout plus de longueurs…

2 - LE FORMAT VERTICAL

La consultation de Facebook sur mobile concerne plus de 80% de ses utilisateurs dans le monde. En France, 95% des 16-65ans possèdent un Smartphone.

La messe est dite ! Verticalité ! D’autant plus que META incitent forcément via les Reels qui sont aussi présents sur FB à abuser du format vertical.

Donc idéalement du 9/16. Ou 4/5.

À noter que Creative Studio propose des options de recadrage…

Mais rien ne vaut une vidéo qualitative dès le début et un tournage avec du matériel adapté à ces formats là.

3 - LES VIGNETTES À PART ENTIÈRE

Ce n’est pas là le point le plus crucial mais tous les points comptent quand on se bat pour de la visibilité !

Vous avez la possibilité de créer votre propre vignette et cela aura un intérêt sur certaines surfaces du réseau comme Watch où les vidéos n’apparaissent pas en autoplay.

4 - LA DESCRIPTION DE LA VIDÉO

Le wording doit être bien pensé et écrit : suffisamment incitatif pour que les audiences visionnent, suffisamment descriptif aussi. Il faut arriver à créer un peu de suspens ! Et tout cela en une centaine de caractères seulement.

5 - LE SOUS-TITRAGE

Il est obligatoire ! Parce que la majeure partie des contenus sont visionnés sans le soin, parce qu’ils renforcent la mémorisation du message (process cognitif) , parce que certains sont aussi atteints de troubles et que les sous titres peuvent aider.

6 - PLANIFICATION ET AVANT-PREMIÈRE

Et oui, comme au cinéma ! Mais saviez vous que nous avions sur Facebook la possibilité de teaser les abonnés de votre page en leur demandant de s’inscrire au lancement de la vidéo puis de les informer de son lancement ! Et ceux qui se sont inscrits auront accès à ce contenu de manière exclusive pendant quelques temps…

7 - LA SPONSORISATION

Évidemment, évidemment ! On ne pouvait pas finir sans cela, mais les investissements publicitaires vous permettront d’aller toucher plus de monde et d’obtenir des visionnages plus longs.

Voilà vous savez (presque) tout !

Si vous voulez tester une nouvelle écriture de vos contenus, vous savez ce qu'il vous reste à faire : hello@popforyou.fr

Comment émerger dans le flot incessant de contenus que nous impose aujourd’hui le web en général, et largement porté par les réseaux sociaux ?

Avant de répondre à cette question, bref retour en arrière.

Souvenez-vous des années 2000 (pour celles et ceux qui peuvent !) et des débuts d’Internet.

Le temps où vous possédiez une adresse caramail et où vous chatiez sur MSN. En ces temps qui semblent si lointains, vous naviguiez sur Internet à la recherche d’informations. Vous alliez au devant du contenu grâce aux fameux moteurs de recherche, Google bien sur en tête de pont.

Au contact de ce contenu, il était tout à fait facile voire immédiat d’en identifier les auteurs, les créateurs qui ainsi crédibilisaient (ou non) le dit contenu.

Les réseaux sociaux, en pleine émergence, suivaient la même logique : vous étiez au contact de publications uniquement parce que vous étiez abonnés à leurs émetteurs. Les marques étaient-elles ainsi clairement identifiées.

Après le retour en arrière, bon en avant, à la vitesse des algorithmes !

Les contenus publicitaires côtoient maintenant les contenus auxquels nous sommes abonnés.

Ils sont nombreux, défilent sous nos yeux très (trop ?) rapidement ; la plateforme TIKTOK étant sûrement le plus bel exemple de cela.

Mais qui nous propose ces contenus ? Qui écrit ? Qui parle ? Qui crée ? Qui met en musique cette valse incessante de publications, vidéos et autres réels ?

Nous nous laissons tous emmener dans cette danse et bercer par le doux son des notifications.

Et il y a une raison à cela : les contenus qui nous sont proposés son des contenus qui nous plaisent.

Un exemple éloquent peut illustrer ce propos : les playlists musicales !

Celles qui nous sont suggérées par les plateformes de musique en streaming. Nous leur faisons tellement confiance que nous sommes plus attachés à la promesse du moment qu’elles mettent en avant qu’aux auteurs ou aux chanteurs. Les connaissons-nous seulement ?

Même logique sur TIKTOK comme dit précédemment. Les vidéos s’enchaînent, elles nous interpellent, nous les consommons sans modération mais qui les a créées ?

Dans un tel écosystème, il y a forcément des aspects positifs et négatifs, mais là n’est pas l’objet de ce billet.

L’enjeu pour nous agence, et pour vous entreprises, marques est d’émerger en étant parfaitement reconnues et reconnaissables.

Comment cela est-il possible ?

En étant créatif ! Notamment sur les formats. Être innovant pour que vos audiences s’arrêtent véritablement sur votre contenu. Surtout en ne reproduisant pas à l’infini des formats à succès type Brut ou Konbini. Soyons inventifs et singuliers !

C’est pour cette raison que POP a été créée !

Sa méthode de travail centrée sur l’hybridation des talents et pour le cas présent des talents créatifs nous permet de penser des campagnes et des contenus à fort impact et impact durable. Nos talents sont cesse à la recherche de ce petit truc qui fera la différence.

Les # font partie d’Instagram. C’est un fait. Mais servent-ils vraiment à quelque chose encore aujourd’hui où la recherche par mot-clé est désormais possible ? Nous allons tenter de répondre à cette question.

Cela sert déjà à se faire découvrir en améliorant son potentiel de découvrabilité et d’identification.

Un community manager appelle cela le social media optimization (SMO).

Exemple : #moderesponsable

Comme un champ lexical, vous pouvez jouer sur de nombreux wordings connexes pour vous exposer au plus grand nombre.

Le # est donc une aide à rendre vos contenus pertinents pour les algorithmes.

Cela est d’autant plus vrai sur la page de recherche par hashtag.

Cela peut vous permettre aussi de vous géolocaliser, toujours du SMO, de manière subtile.

Exemple : #marseille #marseillais

En tant que marque, vous pouvez grâce aux # installer un positionnement ou créer du lien avec vos communautés.

Exemple : #mysamshield #revlonissimo

Enfin, les # vous permettent de catégoriser et archiver vos contenus.

N’oubliez donc pas d’en faire des listes !

Mais si votre CM bosse pour POP, pas de souci !

La question qu’il convient donc de se poser est plus la compréhension de l’évolution du mode de recherche des utilisateurs. Car oui aujourd’hui le # a encore une utilité.

Hashtag ? Mot-clé ? À noter d’ailleurs que si vous tapez #tutoeyeliner ou eye liner, les résultats ne seront pas les mêmes.

Ce qu’il faut retenir c’est que vous devez être irréprochable dans la description de vos contenus.

BONUS POP

Comment dois-je utiliser les hashtags ?

Sur quelle plateforme est la première question à se poser !

Sur Instagram, les usages disent entre 7 et 10, nous avons remarqué qu’en mettre plus ne faisait qu’augmenter les performances ! Donc on ose. Évidemment n’en mettez pas 30 non plus. Certaines études montrent qu’en mettre trop pénalise les résultats, non démontré chez CCUA.

Attention cependant à ce que les publications soient lisibles.

Cela dépend aussi de la maturité de votre marque.

Sur Tiktok, pas trop, pas la place ! Privilégiez votre légende.

Sur Linkedin et Twitter : pas plus de 2 # et ils doivent être complémentaires. Un # dit valise donc généraliste et un # plus spécifique.

Quid de les  mettre en premier commentaire ? Non pas de bénéfice, les plateformes aiment peu et c’est un peu pénible à mettre en place pour un CM, autant que les choses soient dites.

Comment les choisir ?

Et bien si vous avez une bonne agence et un bon CM, après une étude de quelques mots-clés.

Tous les # ne se valent pas.

Il faut jouer la complémentarité tout autant que l’image et bien sûr éviter les machins à bots comme les #instaphoto ou #instalive.

Ou pas... !

Vous êtes encore nombreux à vous (donc à nous) poser ce type de questions.

Pouvons-nous encore être présents sur les réseaux sociaux sans investir ?

La réponse est non.

Alors dois-je uniquement communiquer grâce au paid ?

La réponse est toujours non.

Les objectifs que vous souhaitez atteindre sont nombreux : notoriété, visibilité, leads, ventes, fidélisation, engagement, marque employeur, …

La bonne nouvelle est que votre stratégie social média organique et votre stratégie social média payante ne vont pas servir les mêmes objectifs.

Et c’est bien parce qu’elles sont complémentaires que vous avez besoin des deux.

Et oui, jambon et champignons !

Souvenez-vous du parcours d’achat de votre client. Il n’y a quasiment plus une étape où les réseaux sociaux n’ont pas un rôle.

Alors à quoi vont servir vos publications organiques ?

• À vous positionner

• À exister dans le temps

• À rendre service

• À échanger donc fidéliser

Et les payantes ?

• À vous faire connaître, à faire connaître une offre, un service, un produit

• À toucher de nouveaux publics

• À « embaser »

• À convertir

C’est pour cette raison que les plans média sont travaillés en tunnel, celui de la conversion, de la sensibilisation, à la conversation, en passant par la considération.

Et les payantes servent aussi tout simplement à exister.

Comme vous le savez certainement, la portée organique est en grand déclin, particulièrement sur Facebook. Il semblerait que sur ce réseau, cette dernière soit plus ou moins de 3%. Le calcul est donc simple, si vous avez une communauté de 100 000 abonnées, seuls 3000 auront la chance de voir vos publications. Ouch !

En résumé, il faut donc soutenir l’organique avec du paid.

C’est pourquoi nous vous recommandons toujours une stratégie média fil rouge. Même avec des petits montants, mais boostez vos publications, les résultats seront là.

Après cela, on joue les formats du moment. Reels, reels, reels, encore et toujours. Cela fonctionne, n’hésitez donc pas à financer ce type de contenus, leur taux de viralité ne vous fera pas regretter vos investissements.

Puis on mise sur les contenus organiques qui fonctionnent le mieux pour orienter sa stratégie média. Parce qu’évidemment ce qui fonctionne en organique aura des résultats d’autant meilleurs en paid.

Organique et paid, c’est la stratégie social média gagnante.

Tout est dans le titre.

Comment produire vos contenus en 2022 ? Et peut-être 2023 et 2024.

Le parcours d’achat est social média.

Vous n’avez plus le choix que d’être sur les réseaux sociaux.

Il faut donc produire des contenus qui en épousent les codes.

POP est là pour cela.

On aurait pu s’arrêter là mais on va tout de même vous raconter quelques petites choses.

En effet, vous avez dû remarquer que l’agence avait fait bouger un peu son identité. Au bout de tant d’années, rien d’illogique. Mais ce n’est pas juste cela. Nous avons fait aussi un peu bouger son organisation. Parce que le monde social est en évolution permanente.

C’est pourquoi nous avons créé un nouveau pôle contenu dont l’essence même est l’écriture sociale.

Les plus réacs diront qu’on ne peut pas écrire sur les réseaux sociaux.

Les plus puristes diront qu’un film ne peut pas être visionné à la verticale.

Les plus jeunes diront c’est cela l’écriture sociale ? J’écris donc tous les jours !

Les plus critiques diront, c’est vraiment du marketing.

Mais oui exactement, c’est du marketing ! À quoi cela servirait-il par exemple de produire des formats classiques horizontaux pour Instagram ? Puisque personne ne les verrait… Vous avez la réponse. À rien !

Et chez POP, quand on fait quelque chose, on aime bien que cela serve à quelque chose et encore plus.

Mais l’écriture sociale ne se résume pas à produire au format vertical. Cela va bien plus loin.

Tout l’intérêt est de raconter votre histoire en utilisant toutes les surfaces qui peuvent vous être proposées.

Chaque format, chaque plateforme, vous permettra de mettre en avant une facette de votre marque, de votre produit, de votre service.

Une gymnastique de l’esprit à la fois créative et stratégique.

La simple duplication d’une vidéo capsule au format carré pour driver votre audience en story au format 9:16 ne suffira pas.

Vous vous devez d’emmener vos consommateurs plus loin.

Et ce n’est pas parce que les formats sont courts qu’ils n’ont pas d’impacts. Et ce n’est pas non plus parce qu’on est sur les réseaux sociaux qu’on ne peut pas faire un peu plus long.

Tout l’enjeu est de penser sa narration différemment. Dès le départ. Avant de produire. Et ensuite de laisser la magie des community managers opérer !

Le social média est une réalité dont on doit faire l’expérience.

Quelques petites choses pratiques malgré tout :

Sur Facebook, le format horizontal est en perte de vitesse.

S'il est encore possible de les publier, cela n’a pas un intérêt majeur. Privilégions les formats carrés qui occupent 78% d’espaces supplémentaires dans vos feeds au format mobile.

Sur Instagram, idem, le format horizontal est… toléré ! Mais il n’est pas impossible que la plateforme vire au 100% vertical, qui de toute manière a le vent en poupe. L’usage d’Instagram étant plus que majoritairement mobile, on privilégie évidemment les formats carrés et verticaux.

Sur Tiktok, c’est facile, c’est obligatoire du 100 % vertical.

Sur Pinterest aussi, c’est l’usage.

Sur Linkedin, la vidéo carrée est intégrée en natif, aussi elle occupe l’espace et est fortement recommandée.

Sur Youtube, en revanche, le format horizontal a encore toute sa place !

À vous de jouer !